La pratique de la Gestation par autrui (GPA) confirme régulièrement les difficultés et les souffrances auxquelles s’exposent les parents qui y ont recours, sans parler des enfants.
En Nouvelle-Zélande, Anna et Mark sont confrontés à la souffrance de l’infertilité. Après une fausse couche, ils décident d’avoir recours à la « gestation par autrui » (GPA). Ils se rapprochent d’une clinique de fertilité et « suivent le processus », mais leurs tentatives se soldent par des échecs. « Blasés », ils décident de se passer d’un intermédiaire officiel : une de leur connaissance sera la « mère porteuse » de leur enfant. Une sorte d’ « arrangement entre amis », sans contrat, « altruiste ».
Toutefois à quelques semaines du terme, la « mère porteuse » coupe les ponts. Elle finit par réclamer la garde de l’enfant. Après une médiation, elle accepte une garde partagée à 50%[1]. « Nous ne comprenons pas ». « C’était censé être notre bébé et nous l’avions prévu ». Les commanditaires, devenus « victimes », eux qui avaient tout planifié, se retrouvent « piégés ».
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