Les affres de la filiation

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Une anglaise, née d’un adultère, adoptée à l’âge de 8 ans par un cousin et sa femme, a poursuivi en justice son père biologique, français, pour obtenir la reconnaissance juridique « légitime » de sa filiation et « réclame un tiers de la succession ».

Le 19 mars 2019, la Cour d’appel de Paris juge que le père biologique qui a refusé de la reconnaître, décédé entre-temps, est bien son père. La Cour considère que, bien que l’action entreprise soit en principe irrecevable, la « débouter (…) porterait une atteinte « disproportionnée » à son droit de faire reconnaître sa descendance ».

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