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Libérons l’école du wokisme !

« Libérons l’école du wokisme ! »

Face au déni de l’Education nationale sur le militantisme idéologique qu’elle veut imposer aux élèves, aux enseignants et aux parents, Le Syndicat de la Famille lance une campagne nationale d’alerte et se mobilise partout en France.

Malgré le contenu du programme d’éducation affective, relationnelle et sexuelle, la circulaire sur l’accompagnement des élèves trans ou encore les enquêtes conduites par Le Syndicat de la Famille (avec constats d’huissiers) sur les supports utilisés dans les classes, l’Education nationale n’a de cesse de nier l’imprégnation largement idéologique et politique de ce qu’elle veut imposer aux élèves, aux parents et aux enseignants :

Avec l’EVARS, dès la maternelle, les filles sont présentées comme des victimes et les garçons des coupables, la société « assignant des rôles » à chacun. Cette vision caricaturale, qui correspond au « patriarcat systémique » conceptualisé par le wokisme, est suivie de l’affirmation d’une prétendue distinction entre sexe et genre, introduite en 5e et réitérée d’année en année. Si les dirigeants de l’Education nationale font mine de ne pas comprendre que distinguer le sexe et le genre signifie concrètement qu’il peut être pertinent de transitionner, les élèves, eux, reçoivent parfaitement le message, et d’autant plus que les réseaux sociaux laissent une large place aux influenceurs trans.

Malgré ces contenus inspirés des gender studies et du wokisme, donc contraires à l’obligation de neutralité de l’Education nationale, ces séances sont obligatoires pour les élèves. Quant aux parents qui osent envisager de retirer leur enfant lors des séances, ils se voient aussitôt dénoncés au rectorat, comme Le Syndicat de la Famille l’a appris de plusieurs témoignages. Une manière, évidemment, de faire peur et de faire taire les parents.

Quant aux enseignants, outre le programme EVARS à transmettre via la plupart des matières (au motif de la « transversalité » de cette « éducation »), ils sont mis en difficulté grave par la circulaire de l’Education nationale sur la transidentité : elle bafoue leur liberté de conscience en les obligeant, malgré la réalité sexuée et l’état civil d’un élève, à le nommer par un nouveau prénom, de l’autre sexe, si telle est sa demande. Une catastrophe en ce que ce procédé ne met pas l’élève en situation de prendre son temps et de mûrir. Or, une fois engagée la transition sociale, le retour en arrière est compliqué, comme en attestent de nombreux « détrans » ou « post-trans » qui regrettent leur parcours et reprochent tous aux adultes qui les entouraient alors de les avoir laissés faire.

Afin d’alerter tous ceux qui croient dans les objectifs hypocritement affichés par l’Education nationale et qui n’ont pas encore connaissance des contenus concrets destinés à leurs enfants, Le Syndicat de la Famille lance ce 25 septembre la campagne « Libérons l’école du wokisme ! ».

  • L’affiche sur l’école fait référence à des témoignages, mais aussi à des ouvrages de coins lectures de classes de primaire, comme « Princesse Kevin » (avec ses fiches pédagogiques destinés aux instituteurs), « Mon frère, ma princesse », « Julian est une sirène », « Le Prince et la couturière » (un prince qui s’habille en fille la nuit)…
  • L’affiche avec un collégien fait référence aussi bien à des témoignages qu’au programme EVARS qui, à partir de la 5e (page 27 du programme) différencie le sexe du genre, ce qui implique qu’on peut être de sexe masculin et être fille ou l’inverse.
  • L’affiche avec une lycéenne renvoie à des témoignages d’enseignants, ainsi qu’aux exigences de la circulaire de l’Education nationale sur la transidentité : les établissements sont invités à laisser des élèves utiliser les toilettes, vestiaires, et le cas échéant dortoirs, réservés à l’autre sexe, s’ils ne se sentent pas en adéquation avec leur propre identité sexuelle (« l’usage des espaces d’intimité », au paragraphe B de la circulaire).


Contact presse : Tel : 06 14 83 47 02

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