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La Face cachée de la GPA (Le Figaro TV) : enquête sur une pratique controversée

Extrait de l’article de Le Figaro TV du 20 novembre 2025

Les limites de la gestation pour autrui sont au cœur du documentaire d’Alice d’Oléon et du débat proposé ensuite dans « Le Club Idées ».

«Donner la vie est une liberté (…) qui ne peut pas être réduite à cette espèce de commercialisation. On voit même (…) des points communs entre la prostitution, qui, au fond, commercialise le sexe de la femme, et cette espèce de location de ventre qui fait de la femme une bête de reproduction, un réceptacle.» Au début des années 1980, la féministe Gisèle Halimi ne mâchait pas ses mots pour dénoncer la gestation pour autrui, qui en était à ses balbutiements. En France, en 1984, naissait le premier bébé issu d’une GPA, avec, à la clé, une rémunération de 25.000 francs pour la mère porteuse. De quoi nourrir les débats au sein de notre société. Dès 1986, l’Ordre des médecins condamnait cette pratique, puis, l’année suivante, la justice rappelait que, selon la loi, le corps humain ne peut pas être cédé, loué ni vendu.

Ce contexte historique est évoqué au début du saisissant documentaire d’Alice d’Oléon intitulé La Face cachée de la GPA, diffusé en première partie de soirée sur Le Figaro TV, avant un débat passionnant organisé dans le cadre de l’émission « Le Club Idées ». En plateau, Alexis Feertchak reçoit Louis d’Avout, professeur de droit privé à l’université Panthéon-Assas (Paris 2), Valérie Boyer, sénatrice LR des Bouches-du-Rhône, et Agnès Leclair, journaliste au service société du Figaro, spécialiste des questions de bioéthique.

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