L’Union européenne, championne de la paix depuis 1945, héritière des droits de l’Homme et, depuis peu, protectrice « des valeurs européennes » (au contenu peu clair à vrai dire), s’apprête à mettre en danger les femmes et les enfants au motif de la liberté de circulation.
En effet, au détour d’un projet de « reconnaissance mutuelle de la parentalité » que la Commission européenne prévoit d’adopter le 7 janvier prochain, le principe de la gestation pour autrui (GPA) serait de facto reconnu et ce, par tous les États-membres de l’Union européenne.
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