Dans le cadre du débat sur la réforme des retraites, les députés Laure Lavalette (RN) et Philippe Gosselin (LR) ont indiqué que le nombre d’enfant désiré par les couples serait de 2,3, comparer avec le nombre d’enfants par femme, tombé à 1,8 en 2022.
Les familles sont donc moins nombreuses qu’elles le souhaiteraient, ce que Le Figaro a confirmé. Dès lors, la reconstruction de la politique familiale semble de nature à pouvoir faire remonter la natalité française, laquelle connaît un niveau historiquement bas depuis plusieurs années.
Retrouver ici l’article du Figaro
La CAF a publié sur son site un article intitulé “Mon enfant est transgenre, comment bien l’accompagner ?”
Suite à cette publication, 80 signataires ont cosigné une lettre ouverte publiée par Le Figaro. Elle s’adresse au ministre de la Santé, François Braun.
“La page du magazine Vies des familles (…) , mise en ligne le 25 janvier 2023, présente la théorie de l’affirmation du genre comme un fait avéré. Or, non seulement cette théorie ne repose sur aucun fondement scientifique, mais en outre elle rejette une donnée biologique, scientifique, incontestable : l’espèce humaine est constituée de deux sexes, mâle et femelle, et de deux genres, le féminin et le masculin. À ce titre, la phrase du premier paragraphe «Et le genre n’a rien à voir avec la sexualité» ne peut que laisser perplexe. Avec quoi le genre aurait-il à voir, alors ?”
De son côté, le journaliste Paul Sugy a rappelé, sur Cnews, qu’un enfant ne peut pas consommer d’alcool, consentir à une relation sexuelle ou conduire et qu’il peut donc encore moins consentir à changer de genre ou de sexe.
L’intervention de Paul Sugy ici.
Sur le sujet de la transidentité, le Point a publié la tribune d’un collectif de spécialistes de l’autisme inquiet de l’augmentation des transitions de genre chez les enfants et adolescents autistes ou TDAH ( ?). Ils appellent à une grande vigilance et à aider les enfants à s’accepter tels qu’ils sont.
La tribune complète ici.
Treize sociétés savantes et associations de médecins et d’infirmiers, représentant 800.000 professionnels, ont rédigé un « avis éthique » dans lequel elles refusent « catégoriquement la démarche euthanasique ».
« Nous avons fait des réunions de jour comme de nuit pour nous accorder avec les autres organisations sur un texte. Sur l’ensemble des soignants que nous représentons, peut-être que certains ont un avis plus nuancé ou moins affirmé, mais il y a un consensus très fort sur la crainte de transformer le sens de notre métier. L’intention première du soin doit rester le confort, l’apaisement. Pas la volonté de tuer », a expliqué au Figaro Évelyne Malaquin-Pavan, infirmière spécialiste clinique et présidente du CNP Infirmier.”
La synthèse des réflexions ici et l’article du Figaro ici.
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